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Des­ti­na­tion

avec et dans la

Vers l'épanouissement exponentiel pour chacun de Nous

Réunion Forces Vives

Alliance du Peuple

Le sens des responsabilités citoyennes - Oser agir ensemble pour ne plus subir

 La politique est un engagement qui exige plus que des mots de campagne,

mais surtout œuvrer pour un système politique performant.

Comment motiver celles et ceux qui sont découragés par les politiques menées depuis trop longtemps, les mécontents qui votent quand même et ceux qui s’abstiennent ?

 et bien avec La PRIMAIRE des FRANÇAISES et des FRANÇAIS tout est là !

www.laprimairedesfrancaisesetdesfrancais.org

Pour changer la manière de faire de la politique

 Il faut savoir frapper les esprits sans être outrancier, mais en disant la vérité aux Français et en donnant un vif et déterminant espoir que la manière de faire de la politique va changer en sortant le pays de la forte influence des politiques carriéristes qui confisquent les pouvoirs. C’est grâce aux Français et à leur mobilisation massive que ce changement est possible.

Pour défendre ce concept, il ne faut pas un parti politique traditionnel qui n’est motivé que par la soif du pouvoir et la valorisation d’égos démesurés, mais un collectif qui se bat pour une seule idée, remplacer l’oligarchie au pouvoir par un vrai système démocratique dans lequel les administrés peuvent prendre la parole et faire instaurer une alternative conforme aux besoins d’un pays libre.

Il ne faut pas se soucier de la lutte des idéologues sectaires qui échouent régulièrement, car c’est un non-sens dans le cadre des politiques modernes.

Il faut mener une stratégie de combat à partir d’idées citoyennes, des solutions alternatives à celles des oligarques, des solutions objectives, majoritaires et adaptées aux vrais problèmes du pays.

Les solutions qui permettront de surmonter les outrages de la mondialisation qui est l’ennemi de la démocratie.

Des solutions qui garantissent l’équité de traitement de tous les citoyens à l’exclusion de toutes les autres et qui redonneront la confiance perdue. Cette confiance indispensable pour redynamiser le pays en refusant la dépendance.

Des solutions qui viennent du terrain et qui influencent favorablement la technocratie.

Les démocrates sont celles et ceux qui savent respecter les décisions majoritaires, même si elles ne sont pas conformes à leur souhait personnel. Ce n’est que du bon sens. Et l’objectif des réalisations sous cette forme validée par la majorité ne sera que de tout mettre en œuvre pour que les opposants soient les mieux considérés tout au long de la réalisation.

C’est l’état d’esprit préconisé par Réunion Forces Vives. À partir du moment où les Français seront tous devenus des démocrates responsables, il ne devrait plus y avoir de manifestations voire de grèves. Le pays sera libéré de la chienlit. La nouvelle manière de gouverner devrait diriger progressivement le pays vers cette posture sereine au quotidien.

La question, avec qui gouverner demain, n’est pas importante dans une démocratie, car c’est sans compter sur le fait que les institutions de la cinquième république prévoient que le gouvernement propose et le législateur légifère, ce qui veut dire que si nos gouvernants sont matures, s’ils sont sous contrôle des citoyens, s’ils sont dans l’obligation d’écouter la volonté des Français, rien ne les empêchera de voter des lois allant dans le sens de l’intérêt général et non plus d’une minorité partisane.

Les élus seront dans l’obligation de gouverner en écoutant les citoyens et non plus en imposant leurs lois et leurs règlementations. Les dogmes et les idéologies seront mis au rang des oubliettes.

C’est donc bien à un changement des états d’esprit que la France devra son salut.

C’est la raison pour laquelle, nous offrons, à la France et aux Français, l’alternative qui répond à cette problématique. La mise en exergue de l’intelligence collective.

Instaurer constitutionnellement Les Agoras Citoyennes de France qui permettront de faire évoluer notre pays vers la démocratie semi-directe et permanente grâce à l’outil du Référendum d’Initiative Citoyenne (R.I.C.)

L’alternative au régime politique actuel que nous offrons aux Français et qui est conforme à la fois à une véritable démocratie et aux souhaits de nos concitoyens, doit être unanimement reconnue d’intérêt national et plébiscitée. Elle exclut la défense des egos, au bénéfice de la légitimité et de l’intérêt général du pays tout entier.

Ce qui compte avant tout, c’est la paix sous toutes ses formes et le bien-être des administrés.

Le rôle des Agoras Citoyennes de France est de faire en sorte que toutes les conditions à ces valeurs soient remplies.

Nous appelons de nos vœux que l’ensemble des associations citoyennes qui militent pour le R.I.C. se retrouvent au sein de Réunion Forces Vives le plus rapidement possible et qu’ainsi toutes les énergies s’additionnent et convergent vers cette évolution salutaire pour le France.

La Primaire des Françaises et des Français, permettra de choisir le meilleur candidat possible, pour affronter les représentants d’un système bâtard qui produit plus de mécontents que de satisfaits et offrir aux électeurs la meilleure alternative possible pour faire évoluer les états d’esprit et bénéficier de l’intelligence collective de notre Nation.

En avant pour la Réunion des Forces vives de la Nation.

 


OSER et AGIR ENSEMBLE POUR NE PLUS SUBIR

Les Agoras Citoyennes de France

La Réunion des Forces Vives de la Nation

(L'intelligence collective)

Le Collectif orientée vers une France libérée du joug de la politique politicienne de la ploutocratie et d’une Primaire des Françaises et des Français

La disparition inéluctable de l’influence des partis

Et la naissance prochaine

D’une démocratie semi-directe et permanente, détentrice du pouvoir référendaire

 

Il est clair que la première alerte, en 2017, aurait dû faire connaitre inéluctablement l’incapacité des partis politiques à représenter le peuple français. L’arrivée surprise d’E.M. et l’instauration d’un nouveau mouvement en quelques mois, proposant une vague alternative aux partis engoncés dans des structures rigides et figées dans la notion droite/gauche dépassée, en ont été révélateurs. La soif du changement de stratégie politique était évidente. Cela a été la principale motivation des électeurs en faveur de LREM. La déception généralisée est due à son incapacité à respecter cet engagement.

Naviguant sur une ligne politique ambiguë, le nouveau jeune Président, a réussi à faire exploser le paysage politique français, mettant à terre un PS déjà moribond, divisant les LR et conservant en face de lui, comme seul adversaire, un camp souverainiste fort mais incapable de travailler de concert et avec, pour certains, un passé plutôt sulfureux.

Cette nouvelle entité, étant très certainement l’œuvre de Bildenberg et des défenseurs d’une gouvernance mondiale et d’une capacité financière hors du commun. Le jeune Président étant devenu le meilleur agent de cette tribu.

Il est évident qu’une majorité des Français ne sait plus où elle se situe politiquement parlant et ne se reconnaît plus dans les partis traditionnels. Preuve en est la poussée des écologistes aux dernières municipales, devenus pour certains, et faute de mieux, un refuge idéologique, malgré des propositions économiquement désastreuses. Un désamour confirmé par une baisse drastique des adhésions, et ce, dans tous les partis.

Mais le nouveau mouvement LREM a été très vite catalogué comme un nouveau parti politique, exploitant comme les précédents, une constitution à tendance monolithique et son Président étant très vite devenu impopulaire, comme ses prédécesseurs.

Comment peut-on expliquer une telle « désaffection » pour les partis politiques.

La perte de confiance dans les hommes politiques est la raison première. En effet, comment continuer à faire confiance à un monde politique où la professionnalisation (et la nécessité de conserver un mandat) ne permet pas de sortir des lignes rigides personnalisant chaque mouvement. Et ce ne sont pas les résultats désespérants qui peuvent modifier le sens de l’histoire.

La seconde raison qui rend obsolète dans leur forme actuelle les partis politiques est la composition même de ces mouvements. En effet, dans un parti politique, quel qu’il soit, il y a deux catégories de participants :

Les adhérents, militants et cadres locaux (voire certains nationaux) qui, bénévolement, œuvrent avec conviction et désintéressement pour les idées auxquelles ils croient, idées véhiculées par leurs chefs de file potentiel, devenu inopérant par la baisse de ses effectifs. Et les responsables décideurs nationaux qui vivent de la politique et exploitent les militants.

Et c’est vers cette seconde catégorie que l’on trouve le problème. En effet, ces derniers, plutôt que de chercher une vraie solution pour la France, privilégient leurs intérêts personnels et ceux de leur parti, préférant conserver leur position de leader au sein de leur mouvement (et leur mandat) plutôt que de travailler avec les autres et risquer de perdre ainsi un peu d’influence, et la défense de leurs égos. Comme l’a si bien dit le général de Gaulle : « Chacun cuit sa petite soupe, à petit feu dans son petit coin. » Et les querelles d’égo apparaissent au grand jour. Malheureusement, il en est de même au sein des près de 400 associations citoyennes, qui toutes pensent détenir la vérité.

Certes, on voit actuellement des départs au sein de certains partis et la création de groupuscules satellites aux grands mouvements. Mais la motivation des partants, si on doit leur laisser le bénéfice du doute sur la volonté de faire bouger les choses, ne serait-elle pas surtout une démarche causée par la baisse d’influence du parti choisi à l’origine et visant à asseoir une carrière politique ?

La situation actuelle est complexe et les partis n’ayant plus la confiance des Français, c’est vers le peuple qu’il faut se tourner. Cherchons à connaître ses envies et besoins. Préparons une nouvelle formule de gouvernance, tournée vers des options majoritaires dans le pays et, le moment venu, une personnalité sortira du lot et portera à bout de bras cette évolution fondamentale.

Ce qui est un peu navrant, c’est qu’un certain nombre d’associations se sont créées, pour défendre l’instauration du R.I.C. (référendum d’initiative citoyenne). Mais leur action est totalement figée en ordre dispersé, comme le font les partis politiques et n’ont de ce fait, aucune chance d’atteindre leur objectif.

C’est la raison pour laquelle, l’une d’entre elle, TOUS CITOYENS RESPONSABLES, dont à lui seul, le nom est évocateur d’une certaine sagesse, propose à la fois l’instauration du R.I.C et une structure collective « LES AGORAS CITOYENNES DE FRANCE » qui possèdera le pouvoir référendaire, afin que la démocratie représentative, qui donne les pouvoirs au parti politique ayant gagné l’élection présidentielle soit remplacée par une démocratie semi-directe et permanente, celle dans laquelle, les Citoyens ont leur mot à dire, comme contrepouvoir officiel.

Les Agoras Citoyennes de France étant composées d’Agoréennes et d’Agoréens volontaires et bénévoles, c’est-à-dire d’Administrés qui subissent les bonnes comme les mauvaises décisions (les plus nombreuses) pour débattre dans leur Agora respective et proposer des alternatives aux décisions considérées comme ne correspondant pas au traitement équitable de tous les citoyens.

Une Agora Nationale, dans laquelle chaque agora territoriale aura sa ou son délégué choisi ou tiré au sort sur son territoire, et qui aura pour mission de rassembler toutes les propositions et, selon leur importance, en faire des pétitions nationales puis des référendums lorsque le nombre de signatures aura atteint le minimum fixé, c’est-à-dire 1 % du Corps électoral, comme c’est le cas dans tous les pays ayant adopté le principe du référendum d’initiative citoyenne, comme la Suisse par exemple, qui en est le précurseur, depuis une centaine d’années.

La formule proposée étant une démocratie semi-directe et permanente à la Française, car la France n’est pas la Suisse

La première décision, pour mettre en place cette nouvelle manière de faire de la politique, est celle qui consiste à réformer les article 3, 11 et 89 de la Constitution de 1958, dans les termes de la pétition à signer sur le site : https://www.lesagorascitoyennesdefrance.fr

Si le peuple le souhaite, dans un second temps, il sera possible de créer une constituante afin de passer à une 6ème République. Mais dans un premier temps il faut parer au plus pressé pour obtenir le pouvoir référendaire.

Une fois cette nouvelle formule de gestion de la politique mise en place, tous les espoirs sont permis de très vite retrouver une France digne de son nom et de son passé. Et surtout de mettre en œuvre une vraie démocratie semi-directe, avec un pouvoir et un contrepouvoir.

Les Français devant se rendre à l’évidence, la volonté du peuple ne doit pas être confisquée par quelques dizaines de Ponce Pilate, dixit le Général de Gaulle lui-même. Non, les Français ne sont pas des moutons que l’on tond si facilement.

Quant à Victor Hugo, il a dit : « Rien n’est plus fort qu’une idée dont l’heure est venue »

Jean Jaurès de son côté a déclaré : « Nous avons conquis le suffrage universel, il nous reste à conquérir la souveraineté populaire »

Elie Wiesel (prix Nobel de la paix) : « Nous devons tous prendre parti, la neutralité aide l’oppresseur, jamais la victime ».

Nous pourrions indiquer d’autres citations car très nombreux sont nos illustres intellectuels, à avoir défendu la vraie démocratie, celle qui permet aux citoyens de s’exprimer librement et efficacement.

Le collectif apartisan « Les Agoras Citoyennes de France », orienté vers une France libérée du joug de la politique politicienne, mérite le soutien et la participation d’une majorité de Français qui se plaignent de subir un pouvoir qui les méprise et de ne pas avoir d’alternative sérieuse à cette manière de faire de la politique.

La cohérence dans les idées nécessite cette évolution des états d’esprit : AGIR ENSEMBLE POUR NE PLUS SUBIR.

Le grand nombre et la diversité des Volontaires Agoréennes et Agoréens feront la nouvelle France, celle que nous attendons et qui ne doit pas être une chimère, mais une volonté délibérée.

Pour beaucoup c’est une utopie, mais les utopies d’aujourd’hui sont les réalités de demain.

Il ne suffit pas d’avoir des convictions, il faut les défendre et si elles deviennent majoritaires dans le pays, nous auront concrètement assumés nos responsabilités.

La seule solution pour atteindre notre but est de se rassembler autour de notre plus petit dénominateur commun : le RIC

Mais le RIC est un outil et pas une fin en soi.

Ce sont les Agoréennes et les Agoréens de France qui doivent détenir le pouvoir référendaire pour agir et ne plus subir aveuglément.

https://www.lesagorascitoyennesdefrance.fr


Avec une telle démarche, beaucoup vont nous traiter de fou ! Dont surtout ceux qui n'ont rien fait, jusqu'à maintenant, pour ne pas voir notre patrie s'effondrer de toutes parts, ni pour défendre réellement et servir les peuples de France dans une vraie démocratie... et bien c'est le plus beau compliment que l'on puisse nous faire et Jean de La Fontaine l'explique mieux que qui conque :

 

L’Amour et la Folie

Jean de La Fontaine

 

Tout est mystère dans l’amour,

Ses flèches, son carquois, son flambeau, son enfance :

Ce n’est pas l’ouvrage d’un jour

Que d’épuiser cette science.

Je ne prétends donc point tout expliquer ici :

Mon but est seulement de dire, à ma manière,

Comment l’aveugle que voici

(C’est un dieu), comment, dis-je, il perdit la lumière,

Quelle suite eut ce mal, qui peut-être est un bien ;

J’en fais juge un amant, et ne décide rien.

La Folie et l’Amour jouaient un jour ensemble :

Celui-ci n’était pas encor privé des yeux.

Une dispute vint : l’Amour veut qu’on assemble

Là-dessus le conseil des dieux ;

L’autre n’eut pas la patience ;

Elle lui donne un coup si furieux,

Qu’il en perd la clarté des cieux.

Vénus en demande vengeance.

Femme et mère, il suffit pour juger de ses cris :

Les dieux en furent étourdis,

Et Jupiter, et Némésis,

Et les juges d’enfer, enfin toute la bande.

Elle représenta l’énormité du cas :

Son fils, sans un bâton, ne pouvait faire un pas :

Nulle peine n’était pour ce crime assez grande :

Le dommage devait être aussi réparé.

Quand on eut bien considéré

L’intérêt du public, celui de la partie,

Le résultat enfin de la suprême cour

Fut de condamner la Folie

À servir de guide à l’Amour.